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20 décembre 2008
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11:56
Si vous n'avez jamais vu un homme ému, un vrai, de ceux qui ne pleurent pas, mais de ceux qui ont l'air d'un enfant émerveillé, de ceux dont la simplicité dans le bonheur vous donne une jolie leçon de modestie, et bien, vous avez de la chance, je vais vous en présenter un. 
Il est l'une des figures emblématiques de la Maison Saint-Paul, dévoué au-delà de ce qui est possible, toujours prêt à rendre service, trottant à travers les couloirs et les parcs comme une petite souris besogneuse.
Dominique est officiellement peintre, mais il est plus que cela. Il repeint les fenêtres, soigne les boutures avec son accolyte Didier, s'occupe de la cuisine, et j'en passe car la liste est trop longue.
Alors quand Monseigneur lui a remis le diplôme d'honneur du travail et la médaille de vermeil pour les 30 ans de maison de ce presque jeune homme, vendredi 19 décembre entre le fromage et la poire du repas de Noël de la maison, Dominique n'y croyait pas.
Mais vraiment pas! Jusqu'à soupçonner Gabriel d'être dans le coup, puisque, sur une intuition je lui avais fortement suggéré d'être présent à ce repas. Pour ma défense, je dirais qu'une fois de plus, les voies (ou les voix en l'occurence) du Seigneur sont impénétrables...
Une médaille donc qui s'appelait en 1913 la médaille d'honneur des vieux serviteurs. Ce nom trouve encore aujourd'hui tout sons sens avec Dominique...qui sitôt le repas fini a remis le tablier pour travailler... avec sa médaille!
PS : la suite des photos arrive mais il est bien normal que je mette notre héros du jour sur le devant de la scène! Et pour qu'il n'y ait pas de jaloux, je rpécise que Monseigneur a salué les salariés et les bénévoles de l'ensemble de la maison pour leur travail. C'est ce qu'on appelle motiver les troupes!
Il est l'une des figures emblématiques de la Maison Saint-Paul, dévoué au-delà de ce qui est possible, toujours prêt à rendre service, trottant à travers les couloirs et les parcs comme une petite souris besogneuse.
Dominique est officiellement peintre, mais il est plus que cela. Il repeint les fenêtres, soigne les boutures avec son accolyte Didier, s'occupe de la cuisine, et j'en passe car la liste est trop longue.
Alors quand Monseigneur lui a remis le diplôme d'honneur du travail et la médaille de vermeil pour les 30 ans de maison de ce presque jeune homme, vendredi 19 décembre entre le fromage et la poire du repas de Noël de la maison, Dominique n'y croyait pas.
Mais vraiment pas! Jusqu'à soupçonner Gabriel d'être dans le coup, puisque, sur une intuition je lui avais fortement suggéré d'être présent à ce repas. Pour ma défense, je dirais qu'une fois de plus, les voies (ou les voix en l'occurence) du Seigneur sont impénétrables...
Une médaille donc qui s'appelait en 1913 la médaille d'honneur des vieux serviteurs. Ce nom trouve encore aujourd'hui tout sons sens avec Dominique...qui sitôt le repas fini a remis le tablier pour travailler... avec sa médaille!PS : la suite des photos arrive mais il est bien normal que je mette notre héros du jour sur le devant de la scène! Et pour qu'il n'y ait pas de jaloux, je rpécise que Monseigneur a salué les salariés et les bénévoles de l'ensemble de la maison pour leur travail. C'est ce qu'on appelle motiver les troupes!
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