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15 février 2011 2 15 /02 /février /2011 06:56

Tout d'abord, pour les non-initiés des grands défilés de mode, sachez que les fashion week sont ces rendez-vous d'une semaine où tous les grands noms de la couture présentent leurs derniers-nés et où se bousculent les plus grandes stars du moments.etole 8 redimensionner

 

Ensuite, oui, Gabriel l'avoue sans détour, il a une petite faiblesse pour les vêtements liturgiques, des plus anciens aux plus modernes, des plus simples aux plus chargés. Et par extension, l'oeil qui traîne à chaque cérémonie pour détecter le détail qui fera la différence.etole 9 redimensionneretole 7 redimensionneretole 6 redimensionner

 

Pour la petite histoire, les vêtements liturgiques trouvent leur origine dans les vêtements portés par les dignitaires romains du Bas-Empire. Dans l'Église, ils sont portés par les célébrants pour la messe et pour l'office. Dans le rite latin, le prêtre portait au cours de la messe, sur la soutane, l'amict, l'aube, l'étole, le manipule, la chasuble ou la dalmatique ; aujourd'hui, il ne porte plus que l'aube et l'étole. Pour l'office et les sacrements, il portait le surplis et l'étole; aujourd'hui, l'aube et l'étole. etole 3 redimensionneretole 2 redimensionneretole 11 redimensionner

 

Pour la messe, l'Église catholique a exigé entre le XVIe et le XXe siècle, l'emploi exclusif du lin pour les vêtements du dessous (par exemple, le surplis) et de la soie pour les vêtements du dessus (par exemple, la chasuble).etole 1etole 10 redimensionner

 

Durant la session de formation pastorale, tout en suivant l'office (rassurez-vous!), Gabriel a donc immortalisé les ornements fort simples et à certains égards très printaniers des étoles. etole 12 redimensionner

 

Du latin stola qui signifie « longue robe », cette écharpe est portée par les diacres, les prêtres et les évêques sur l'aube ou le surplis.  Depuis le XVIe siècle, elle adopte les couleurs de l'année liturgique.
Pendant les huit premiers siècles de l'ère chrétienne, elle s'appelait orarium – du latin os, le visage – et consistait en un linge fin utilisé par les personnes qui parlaient en public pour s'essuyer le visage.

 

 

L'étole est confectionnée dans le même tissu que la chasuble dont elle est dépendante. etole 5 redimensionner

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Et c'est d'ailleurs à la chasuble de Monseigneur que Gabriel décernera son coup de coeur.mgr roland redimensionner

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14 février 2011 1 14 /02 /février /2011 06:45

Qui a dit que l'Eglise n'avait pas d'humour, qui???

 

Trouvé cette carte postale sur le stand des livres de la librairie catholique ambulante de la session de formation pastorale... Une attention spécial Saint-Valentin, cela va sans dire!

humour redimensionner

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3 décembre 2010 5 03 /12 /décembre /2010 07:02

Nous autres, chérubins, anges et archanges ne chômons pas pendant cette période de l'année qu'est la préparation de Noël! Et c'est donc en toute fierté que je vous invite à lire ce que l'on dit de nous, ici bas! Un excellent article du Père Norbert Hennique.ange.jpg

 

"Les anges ainsi que l’archange Gabriel occupent une place privilégiée dans le temps de Noël.


Dès l’Annonciation, Gabriel sert de « messager » pour porter à Marie l’invitation que Dieu lui adresse.

Sans le « Oui » de Marie acceptant « que tout se passe pour moi selon ta parole », nous n’aurions pas la joie de célébrer la naissance de Jésus !


Joseph, l’époux de Marie à qui le Seigneur confia la Sainte Famille, doit lui aussi sa vocation grâce à l’appel transmis par un ange du Seigneur qui lui apparut en songe : « Ne crains pas de prendre chez toi Marie, ton épouse… »


C’est encore grâce aux anges que les bergers furent avertis de se rendre à Bethléem : « Vous y trouverez un nouveau-né emmailloté et couché dans une crèche ».

C’est à eux aussi, formant « une troupe céleste innombrable », que l’on doit l’acclamation reprise en écho à cet avènement : « Gloire à Dieu au plus haut des cieux, et paix sur la terre aux hommes qu’il aime ! » Ce verset de l’évangile de Luc a d’ailleurs inspiré le célèbre chant traditionnel « Les anges dans nos campagnes… » qui résonnera dans beaucoup de paroisses durant ce temps de Noël…

 

D’ailleurs, vous noterez que ces mêmes paroles, utilisées uniquement la nuit de la Nativité au II° siècle avant d’être étendues à certaines messes à partir du VI° siècle, seront généralisées dès le XII° siècle à tous les dimanche et fêtes, à l’exception des dimanches de l’avent et du carême, pour donner le commencement du « Gloire à Dieu » ou « Gloria » que nous connaissons.


C’est enfin un ange du Seigneur qui apparaîtra en songe à Joseph afin qu’il se rende d’abord en Égypte. Sa consigne est précise : ils devront « rester là-bas, avec l’enfant et sa mère, jusqu’à ce que je t’avertisse… » avant de « revenir au pays d’Israël » pour « habiter dans une ville appelée Nazareth »…


Comme vous le constatez, les anges « ne chôment pas » durant de temps de Noël  pour que « nous puissions accueillir dans la joie l’adorable naissance de Jésus » et « approfondir notre foi en ce mystère » !"

 

colombier-3_redimensionner.jpg

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2 novembre 2010 2 02 /11 /novembre /2010 07:29

aube bourbonais

 

Les larmes sont parfois une réponse inappropriée à la mort.

Quand une vie a été vécue vraiment honnêtement,

vraiment avec succès ou simplement vraiment,

la meilleure réponse à la ponctuation finale de la mort est

un sourire.

 

 

Julie Burchill, journaliste britannique

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6 février 2010 6 06 /02 /février /2010 09:42
Le froid, le gel, la neige : voilà une triplette devant laquelle les rouages de notre bien aimé portail de parking n'a su resister longtemps. A tel point qu'il nous joue quelques tours pendables! Mais il suffit simplement que l'on sorte hors des heures d'ouverture pour se dire que le "sésame, ouvre-toi" n'a cours que dans les contes orientaux (la photo d'illustration n'est pas toute jeune, je le reconnais, mais elle fleure bon le soleil chaud!).

grille_redimensionner.jpgLa preuve avec cette petite histoire qui est arrivé à une connaissance de Gabriel, connaissance qui, cependant, souhaite rester anonyme. Voici, en ses propres termes cette légère mésaventure :

"Réunion un soir à la maison St Paul, je ressors par l'entrée suivant la lumière alors qu'il n'y avait plus personne. Je me retrouve dehors ! et ma voiture à l'intérieur du parking. N'ayant pas de "sésame" je ne peux re-rentrer pour prendre la bonne sortie qui donne sur le parking. La seule solution qui me restait a été de passer par dessus le portail pour récupérer ma voiture en priant pour que celui-ci ne se déclenche pas quand je serai à califourchon dessus !
Ne pourrait-il y avoir un déclencheur manuel ou alors ne l'ai-je pas vu... Je pense que ça peut arriver à d'autre comme moi qui ne connaisse pas encore le fonctionnement de la maison... Fin de l'histoire : rien de cassé mais un petit moment de panique quand même et il faut être assez souple pour passer par dessus".

Cependant que cette jeune personne se rassure, Gabriel s'est renseigné et voilà ce que lui a répondu le très instruit vicaire général, notre bon Jean-Pierre : "il faut sortir par la bonne porte (je poursuis ne voulant pas laisser croire à une lapalissade), celle qui donne sur le parking juste à côté de la porte qui va vers la salle Saint-Pourçain. Et si jamais, vous vous retrouvez coincer à nouveau, il faut sonner à l'entrée sur tous les boutons de la porte d'accueil, en espérant que quelqu'un soit là".

Sinon, et bien sinon, à moins d'avoir le numéro de portable d'un être bienveillant extérieur à la MDSP ou intérieur si cela marche, on est, soit obligé de faire quelques exercices d'athlétisme recommandée jusqu'à un certain âge, ...soit maudire sa fin de journée et trouver un autre moyen de locomotion!
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9 décembre 2009 3 09 /12 /décembre /2009 14:02
Pas le moindre bout de sapin décoré, pas la moindre fioriture dorée, même pas un pied de santon qui se baladerait par mégarde à la maison Saint-Paul. Si vous êtes venus en visite ces derniers temps, vous avez pu le remarquer : Noël façon guirlande et lumière n'a pas encore passé la porte de la MDSP. Et les seuls arbres de Noël sont dans le parc toujours aussi majestueux toutefois...

L'hospitalité de Lourdes devant un tel denuement avait même, le week-end dernier apporté ses propres artifices festifs pour animer quelque peu la vie de la salle de restauration.

Alors, pourquoi une telle absence d'ambiance festive, même si notre Jacqueline préférée a apporté une couronne de l'Avent et quelques bougies pour la fête des lumières?

Et bien sachez qu'il s'agit d'un souhait de la part de certains de célébrer cette période de l'Avent dans ce dépouillement. Gabriel, fort de son statut de protecteur des communicants s'est empressé de mener l'enquête.

Et voici la réponse que lui a fourni, le père Saint-Gérand, délégué episcopal à l'information que je vous livre avec son aimable autorisation.

Le temps de l'Avent a toute une consistance qui est recouverte par toute une pratique de la société - à commencer par les arbres de Noel d'entreprises qui commencent début décembre, et on ne sait plus pourquoi c'est Noël. Comme on a déjà fêté Noël avant, ce n'est plus la peine de  se retrouver pour célébrer la Nativité.On oublie celui que l'on fête.

Les façades de  maison illuminées depuis le 1er  décembre avec des pères noël qui montent à l'échelle .......on est dans la confusion ou le religieux païen.

Ce qui n'enlève pas au premier degré un aspect humain sympa ou humoristique, ou de rêve - il en faut. Mais Noël c'est plus loin que cela.

Les 4 semaines d'Avent sont un temps fort d'attente de la réalisation d'une promesse, de préparation, avec des figures prohétiques, avec une dimension d'Espérance, de joie, de consolation d'harmonie, de restauration, et l'évocation de belles figures de femmes de la Bible, femme stériles, parfois mises à l'écart, mais qui donnent la vie, l'évocation de naissances difficiles, voir impossibles, mais naissances il y a....

Le temps de l'Avent est un temps de préparation. Un peu de décoration pourquoi pas, mais sans se presser...


Donc et pour résumer la fin du message : l'idée d'une couronne de l'Avent, pourquoi pas, l'affichage de banderoles ou d'affiches dans le hall, on y réfléchit, une crêche vide, à méditer mais pas avant le 18 décembre ( ce qui devrait être le cas cette année d'ailleurs)...

Respectueux des arguments de chacun, je me contenterais de rappeler que tous les temps d'attente heureux sont aussi ceux de la préparation. Ainsi, les parents veillant à la chambre de leur futur bébé, ainsi les mariés préparant leur fête, ainsi, les enfants ouvrant une case du calendrier de l'Avent et décorant un sapin "pour faire plaisir à Jésus" (je cite mon angelot)...
Le temps d'attente peut être vécu de tant de façons différentes qu'il est peut être aussi dommage d'en imposer une seule...






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17 septembre 2009 4 17 /09 /septembre /2009 23:05
Celui qui sait profiter du moment, là est l'homme avisé.
Goethe



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3 août 2009 1 03 /08 /août /2009 08:59
Et une petite pensée, une pour les pélerins de Lourdes qui sont partis hier en bus et entament une semaine de pélerinage diocésaine, aux côtés de Monseigneur. Vous pourrez avoir de leurs nouvelles lundi et mercredi sur RCF Allier, à 8 h 30, si les directs fonctionnent bien.
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2 août 2009 7 02 /08 /août /2009 17:43
En ce dimanche 1er août et quasiment un mois après l'évènement, je vous livre (parce que je l'ai reçu il y a peu l'homélie de Monseigneur donnée lors de la messe jubilaire de Saint-Germain des Fossés, le 2 juillet dernier. Le texte mérite le coup d'être lu de par l'impact voulu et donné par Monseigneur.
Aujourd'hui nous sommes venus rendre grâce avec nos frères aînés. Unis à Marie, l'humble servante du Seigneur, qui s'étonne des merveilles accomplies par Dieu dans sa vie, nous rendons grâce à Dieu pour ce qu'il a réalisé à travers la vie et le ministère de nos prêtres jubilaires.
Bon nombre d'entre vous étaient présents à la cathédrale dimanche pour l'ordination de Benoît, Fernando et Lam. Deux moments particulièrement intenses m'ont fortement touché - jusqu'aux larmes - tant l'émotion était grande:

C'est, d'une part, la procession de tous les prêtres venant imposer les mains aux ordinands C'est, d'autre part, la procession des mêmes prêtres venant donner l'accolade aux nouveaux ordonnés pour les accueillir dans le presbyterium, c'est-à-dire l'ensemble des prêtres du diocèse autour de l'évêque, successeur d'apôtre, qui portent solidairement la charge pastorale.

Comme moi, vous avez certainement remarqué la joie et l'émotion profonde de nos prêtres aînés. Malgré la chaleur forte, la fatigue, et la perspective d'une longue célébration, sans compter la peine du déplacement, ils avaient tenu à être présents. Et ils étaient là, certains avançant cahin-caha, parfois soutenus par une canne, parfois en fauteuil roulant.
Il fallait voir leur joie ! Celle-ci en disait plus que de longs discours. Heureux de voir trois jeunes prêtres prendre la relève, ils semblaient leur dire: «Allez-y les gars, faites du bon boulot! La prêtrise a comblé notre cœur. Elle comblera aussi le vôtre! ». Ils semblaient comme soulagés et rassurés de constater que des jeunes gens de 2009 vibraient comme eux à la suite du Christ, pour l'Evangile qui a mobilisé tout leur être, pour la mission à laquelle ils ont consacré toute leur vie.
Parfois le semeur ne voit pas lever le grain et il s'inquiète de savoir s'il a travaillé en vain, en se demandant quand viendra le temps de la moisson. Les confrères qui ont peiné à semer l'Evangile, qui n'ont pas mesuré leur peine à cette tâche, qui ont donné le meilleur d'eux-mêmes, se réjouissent quand ils voient poindre les premiers signes de la moisson.
Non, ils n'ont pas œuvré en vain, eux qui ont eu le mérite de vivre dans la fidélité et de traverser des tempêtes. Bientôt parvenus au terme de leur vie terrestre, ils peuvent affirmer, comme l'Apôtre Paul: «Je me suis bien battu, j'ai tenu jusqu'au bout de la course, je suis resté fidèle» (2 Tim 4, 7).
Trop marqués par la société de consommation, trop façonnés par les manières de faire de ce monde qui juge tout à l'aune de la « sainte rentabilité» nous avons tendance à être déformés et à apprécier une action apostolique avec ces mêmes critères mondains ... Les critères évangéliques sont d'un autre ordre. La référence ultime c'est la croix du Christ, qui apparaît comme une folie ou un scandale, qui est vue comme un échec, selon les critères habituels. Le Seigneur ne nous impose pas des obligations de résultats, comme le font les chefs d'entreprises commerciales, mais il nous demande simplement de vivre dans la fidélité de l'amour.
 
 

 

 

  • Puisque Benoît XVI vient d'ouvrir une année sacerdotale, sous le patronage de St Jean­Marie Vianney, il faut que cette année 2009-2010 soit l'occasion de mieux situer et mieux apprécier le ministère spécifique des prêtres au milieu du peuple sacerdotal que nous formons tous ensemble pour annoncer la Bonne Nouvelle au monde entier.
  • Pour avoir des vocations de prêtres, il ne suffit pas de prier - même s'il faut commencer par là - il ne suffit pas d'implorer Dieu avec des formules incantatoires en imaginant que, par enchantement, des prêtres vont descendre du ciel. Les vocations de prêtres ne peuvent naître et grandir que suscitées par les communautés chrétiennes. Cela implique que vos communautés paroissiales et vos mouvements croient dans le ministère des prêtres et créent un climat favorable où pourront éclore et grandir les vocations dont nous avons besoin ...
  • Pour avancer en ce sens, je vous propose deux choses:

Tout d'abord, il faudrait que les prêtres s'expriment davantage sur ce qui les fait vivre. Il faudrait qu'ils partagent leurs joies pastorales, qu'ils disent ce qui les rend profondément heureux, au-delà des difficultés et des épreuves.

Un conseil à vous, laïcs: interrogez-les! Sollicitez-les! Il y a une fausse pudeur qui fait qu'ils ne vous disent pas ce qui les anime. Osez les interroger! Faites-les témoigner! Cessez aussi de les plaindre, mais soutenez-les plutôt! Cessez de critiquer et de pointer leurs défauts, mais aidez-les à donner le meilleur d'eux-mêmes!

Deuxième proposition: j'aimerais que les laïcs s'expriment aussi et disent comment la rencontre avec des prêtres a pu les construire ; a pu marquer leur cheminement personnel ; a pu les conduire à prendre des engagements dans la société, a pu les inciter à servir dans l'Eglise. Bref, comment la rencontre de prêtres a pu les aider à exercer leur sacerdoce baptismal et à répondre à leur vocation chrétienne dans le monde. Osez témoigner ! Osez dire combien vous avez besoin du témoignage de vie et du ministère des prêtres pour remplir votre mission dans le monde!
Enfin, ne soyez pas passifs ! Il ne faut pas attendre passivement que des candidats se présentent spontanément. Mais, comme on le fait pour les diacres et pour les évêques, osez interpeller! Avec délicatesse et respect de la liberté des personnes, bien sûr, osez interpeller des enfants, des adolescents, des jeunes adultes. Posez-leur la question : « Pourquoi pas toi ? ». Montrez-leur la beauté de la vie et du ministère des prêtres. Montrez-leur l'estime que vous avez pour cette vocation. Manifestez-leur que vous avez besoin de ce ministère pastoral pour notre mission commune dans le monde. Montrez-leur qu'ils pourraient fort bien exercer la mission pastorale au nom du Christ.
Marie, dans l'Evangile de la Visitation, est la figure de l'Eglise. Comme elle, nous portons en nous la présence mystérieuse de Jésus Sauveur du monde. Comme elle, il nous faut donc aller en hâte vers toute l'humanité en attente d'accomplissement, symbolisée par Elisabeth. Il faut que dans la rencontre de nos frères humains se joue quelque chose d'analogue à ce qui se joue entre Marie et Elisabeth, lors de la Visitation. Si notre charité est authentique, si elle a véritablement sa source dans celui qui nous habite, alors l'Esprit Saint qui nous précède toujours et qui travaille le cœur de tout homme fera dire à ceux que nous servons, comme Elisabeth « Comment ai-je le bonheur que la mère de mon Sauveur vienne jusqu'à moi? ».
 
 
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21 juin 2009 7 21 /06 /juin /2009 09:11
A Papa,

Mon coeur me dit
Qu'ajourd'hui, c'est la fête
Mais quelle fête?
La fête des mamans? Non!
La fête des rois? La fête d'un roi!

Mais lequel?
Le roi de mon coeur :
C'est mon papa à moi!
Bonne fête, papa!


Gabriel a instauré une tradition, Gabriel la respecte : alors bonne fête à tous les papas et pour ceux qui n'auraient pas encore eu l'idée magique, voici quelques propositions.

1. Un jeu de mécano géant "Je construis mon cloître".









































2. Mon coffret "Je me mets à l'art contemporain religieux et ce n'est pas mal du tout!"


3. Les derniers livres à la mode.




































4. Ou un énorme bouquet de fleurs .5. Et surtout plein d'amour et de mots doux pour ce jour!
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