Du passé, faisons table rase

Et oui, nous aussi, à la Maison Saint-Paul, nous menons notre révolution! Ce ne sont pas encore les paroles de l'Internationale que nous entonnons sur le parvis (quoiqu'en dise mon titre d'aujourd'hui!), mais à voir les vestiges du passé disparaître sous les coups des pelleteuses et des tronçonneuses, on se dit qu'elles ont une certaine répercussion à nos oreilles.



Afin d'éviter tout infarctus à la vue de ce (triste) spectacle, je vous propose deux articles sur les chamboulements de ces derniers jours.















Grâce une fois encore à mon accolyte qui doit certainement avoir du sang de ouistiti dans les veines tellement il grimpe partout et surtout une sacrée aura auprès des ouvriers, voici dans l'ordre des vues des toits et de l'auditorium, une vue des appartements de l'évêque (un bon coin pour les paparazzis, période de Cannes oblige!), quelques photos des sols en cours de réalisation et une vision de la passerelle.






























Et puis, puis...


Les arbres. Jusqu'à présent, nous avions une double couronne d'arbres et ce depuis près d'un siècle.


Afin d'éviter tout problème avec la future maison, les architectes des Monuments de France ont choisi d'en couper certains dûment marqués au feutre rouge afin de finir leur vie sous les assauts des tronçonneuses.

Chose dite, chose exécutée cette semaine, non sans une certain nostalgie. Mais que les amis des arbres (et les autres!) se rassurent. A chaque arbre coupé, un arbre replanté dans la future configuration.


























Ouf, l'honneur est sauf, la Maison Saint-Paul garde son aura d'écologiste convaincue!