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3 juin 2009 3 03 /06 /juin /2009 21:32
Si vous avez moins de 65 ans, que vous n'êtes pas originaire de l'Allier et que vous n'êtes pas un garçon, il est fort probable que le Reray ne vous inspire pas grand chose. Et pourtant, pour nombre de curés aujourd'hui à la retraite, ce nom fleure bon leur enfance et leur adolescence, tout en rappelant les souvenirs de la Seconde Guerre Mondiale. Un véritable mythe, même aux dires de certains...

En proposant de revenir sur les pas d'un passé pas si lointain que cela, Marie Louise Lapillonne a visé juste dans le coeur des prêtres du diocèse. En goguette durant une journée, loin de toute méditation, une quinzaine d'entre eux s'est offert un petit break bienvenu. Avec Gabriel à leurs trousses bien évidemment!

D'où ce mini reportage en deux parties.

Avant d'opérer ce petit retour dans le passé, je vous délivre ce petit rappel (car c'est bien un rappel, n'est-ce pas?) de ce qu'est le grand séminaire et le petit séminaire, désignation du Reray.
Tout d'abord appréciez la poésie de ce mot séminaire, du latin seminarium, « pépinière », et de la racine semin-, « graine, principe vital »). Une pépinière de prêtres, d'hommes de foi... tout un programme habilement repris dans ce petit document du Reray (un cadeau de Monseigneur qui, en ce moment s'occupe avec attention de ses vignes, bien décidé à les voir prospérer sous ses fenêtres).






































Je continue mes explications (piquées, je le reconnais sur Wikipédia) :

En France, le séminaire proprement dit est appelé Grand séminaire. Par opposition, le Petit séminaire est une école de niveau secondaire (collège, lycée) qui forme aussi bien des futurs séminaristes du grand séminaire que des élèves qui resteront laïcs. Le terme et l'institution sont désuets en Europe, mais le petit séminaire a eu une grande importance sociale jusqu'au milieu du vingtième siècle. C'était souvent l'un des seuls moyens de s'instruire pour les enfants intellectuellement doués vivant à la campagne, que les curés de paroisse repéraient et dont l'Église prenait en charge les années d'études secondaires, en proposant aux meilleurs d'accéder au grand séminaire. C'est aussi au petit séminaire que la petite bourgeoisie catholique envoyait de préférence ses garçons pour qu'ils reçoivent une éducation classique de qualité dans un milieu moralement protégé. L'internat était la règle et la discipline rigoureuse.

Donc, résumons, durant une journée Gabriel a côtoyé la fine fleur de l'intellect bourbonnais des années 30 et 40. Et Dieu m'est témoin qu'ils n'ont perdu ni de leur mémoire, ni de leur humour, ni de leur entrain, en dépit des cannes, et des signes du temps.

Quant à l'histoire du Reray (qui précède en fait le petit séminaire de la maison Saint-Paul), il se place dans la succession de l'institution du sacré Coeur de Moulins, elle-même résultant de la fermeture du Petit séminaire d'Yzeure en  1880.






















Le Petit séminaire du Reray ouvre une première fois ses portes en 1894 et vit grâce au mobilier de l'institution du Sacré Coeur. Une première période qui dure 13 ans, conséquence de la loi Combes de séparation de l'église et de l'Etat. Le petit séminaire revient au Sacré-Coeur et durant ce temps, le Reray est occupé de 1925 à 1931 par des bénédictins de Saint-Wandrille.

En  1931, deuxième ouverture du Reray en petit séminaire. A sa tête vont se succéder Paul Chevrier (1886-1968) , suivi de Charles de Provenchères (nommé évêque en janvier 1946) et enfin du chanoine Brugnaud jusqu’à la fermeture de l'établissement en 1951. Date à laquelle le Reray devient maison de repos des prêtres.

En 1964, l'évêché vend le site à M. Constantin qui ouvre un établissement médico-pédagogique puis médico-professionnel, toujours en place en 2009.






































Cette belle bâtisse (un château de la fin du XIX e siècle ayant lui même remplacé un ancien manoir) a donc longtemps résonné des cris des jeunes garçons et pour certains futurs prêtres.



















Et ceux-ci n'ont rien oublié.









































Il suffisait de voir leurs yeux pétiller au passage des dortoirs, se rappelant des gants gelés en hiver pour la toilette, de l'unique feu allumé durant cette période, la nuit de Noël, des orties devenues épinards pour les repas, de la statue de la Vierge, de la mare et ses parties de glissades sur l'eau gelée, des soeurs infirmières, installées dans la laverie, des jardins (encore en place aujourd'hui), des pommes de terre, nourriture des temps de guerre ou de carnaval organisé par les soeurs alsaciennes. Sans oublier les cloches sonnées le jour de la Libération, cloches qui doivent encore porter le nom de ceux qui la sonnèrent, écrit au feutre (la vérification ne devrait pas tarder à être faite).




















Bien sûr, tout n'est pas exactement comme dans les souvenirs, à commencer par l'église, devenue depuis débarras et pendant quelques temps, salle d'escalade. Une église qui a vu célébrer un grand nombre de messes, dont celle de Minuit. Aujourd'hui, l'autel n'est plus, mais il se pourrait qu'un jour, cet endroit retrouve sa vocation première. A suivre donc...



































Une chose, en tout cas, semble avoir changé en bien selon plusieurs anciens élèves : la nourriture. Entre une soupe matin et soir et un plat à midi (sans oublier cependant les jours de fête un bon gâteau à la crème!), nombreux ont été ceux à apprécier le petit apéritif soigneusement concocté par la maison.












Quant à la suite de la journée, quelques heures encore d'impatience et vous découvrirez une joyeuse tablée et un compagnon de chemin nommé Jacques Paris qui s'est découvert de nouveaux fans, prêts à embarquer sur ses gabarres...



   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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31 mai 2009 7 31 /05 /mai /2009 08:49
Voici un dicton qui tombe à pic!

Car le vignoble saint-pourçinois voit enfin sa reconnaissance avec un AOC, après 27 ans de dur labeur auprès de la Commission de l'INAO (Institut national de l'origine et de la qualité) .

Et à la maison Saint-Paul on a eu le nez fin! Car, rappelez-vous, il y a quelques jours, douze pieds de vignes (comme les apôtres d'ailleurs, je n'avais pas fait la corrélation encore!) étaient plantés par la confrérie des fins palais, sous le regard bienveillant de Monseigneur. ( De messe ou de table, qui suis-je? )Depuis, la petite a bien poussé sur le parking de la maison Saint-Paul et voici en primeur, les photos des premières feuilles. Pour le reste, il faudra encore attendre.
Et justement le parking gagne un peu en couleurs avec quelques emprises vertes de-ci, de-là, tandis que de l'autre côté de la barrière, la nature qui s'en donnait à coeur joie a été pour ainsi dire sacrifiée pour la plantation de quelques arbres.
Mais au vue de son exubérance naturel à la maison Saint-Paul, d'ici à quelques jours, pour peu qu'il pleuve, cette même nature aura repris ses droits. La preuve avec le parterre qui annonce l'arrivée à la maison Saint-Paul.Enfin, pour l'heure, profitez du soleil que nous offre ce jour de Pentecôte, à l'image de notre statue du Sacré coeur de Jésus qui a ces derniers jours opéré un subtil déplacement pour être au coeur du ciel de notre marelle maison et donc à même de gagner un peu de bronzage, tout palôt qu'il est!














































Cependant, attention, le soleil peut être dangereux et le toit de notre deuxième pyramide avait même commencé à peler, avant de faire peau neuve!
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19 mai 2009 2 19 /05 /mai /2009 06:59
Mea culpa, maxima mea culpa...






























Emportée par le tourbillon de la vie, je n'ai pas eu le temps de revenir sur l'évenement qui a occupé l'esprit de Souvigny dimanche 10 mai.




























































Voici donc quelques photos de ce moment fort qui a vu à la fois la réouverture de l'église Saint-Pierre Saint-Paul après trois ans de travaux (au passage c'est amusant de voir que les crédits sont les crédits et qu'une fois dépassé, on ne peut même pas finir de peindre entièrement les colonnes...).Entre le direct sur RCF Allier, la découverte des gisants des abbés Mayeul et Odilon, la messe concélébrée par Mgr Defoix, évêque émérite de Lille qui a fait l'aller-retour dans la journée et Mgr Paul Mercier (le tout filmé par France 3), le concert de la maîtrise de la cathédrale du Puy et de l'orgue Cliquot, la rencontre avec les pélerins de Saint-Jacques de Compostelle qui avaient fait tout exprès le voyage depuis la Blegique, les Ardennes et Bordeaux (le couple en photo s'est rencontré sur les chemins de Saint-Jacques), l'inauguration officielle et l'apéro repas sous la pluie (l'appareil de Gabriel est fragile d'où l'explication de l'absence de photo), il y avait de quoi faire.

Avec en prime une petite pensée pour frère Drago, frère de Saint-Jean, qui se remet doucement d'un mauvais coup du destin.

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11 mai 2009 1 11 /05 /mai /2009 08:49
Intermède fleuri avant les photos de la réintroduction des gisants de Mayeul et Odilon qui a eu lieu hier à Souvigny, voici un intermède fleuri, alors que la nature explose de toute part à la maison diocèsaine Saint-Paul.


ET pour commencer la compétition du moment entre les jardinières de notre nouvel économe déjà fleuries et celle deMonseigneur qui son en devenir. Qui va gagner la manche???


Et en prime quelques photos inédites de la maison Saint-Paul sous le soleil!


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13 avril 2009 1 13 /04 /avril /2009 08:41
Dès que les beaux jours reviennent, la maison Saint-Paul respire comme qui dirait un petit air du Sud!

Les couettes et autres draps sortent sur les balcons, avec cette agréable parfum de ruelles étroites d'Italie.

















Les marchands de tapis (ah non pardon de tuyau) circulent dans le parc et en profitent pour remplacer les ballons d'eau chaude sous le regard averti de notre bon père Mathat.









L'évêque a installé son mobilie de jardin sur la terrasse.

Et nous avons même notre désert, en l'occurence le parking de la maison saint-Paul comme le prouve cette vidéo!




Ah au fait, petite précision pour tous ceux qui souhaiteraient adhérer au groupe "Vive la maison Saint-Paul" sur Facebook.

Il suffit de s'inscrire sur Face Book et de taper dans recherche maison Saint-Paul. Succès garanti! Alors n'hasitez pas une fois encore à rameuter large!


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8 avril 2009 3 08 /04 /avril /2009 08:18
Vous aviez raté la messe chrismale du diocèse de Moulins, hier soir à la cathédrale ? Vous avez hâte de piquer des photos sur ce blog pour les souvenirs? Vous avez juste envie de revivre ce moment?

Rassurez-vous, tout est là!

D'accord Gabriel aurait pu dès hier soir mettre le tout en ligne, alors que les agapes se poursuivaient à la salle Saint-Pourçain (les photos sont sur le blog de Monseigneur), pour les prêtres, les diacres et leurs épouse autour de l'évêque. Mais, brisé par tant d'émotion, l'ange a préféré replier ses ailes pour être en pleine forme ce matin!

Tandis que Jérémi et le père Wasenko officiaient sur les ondes de RCF, niché dans un petit coin d'une cathédrale bien fraîche pour la saison, je tentais d'immortaliser cette célébration importante puisque trait d'union entre les catholiques d'un diocèse et leur évêque.



Alors pour ceux qui pécheraient un peu sur le sens de la messe chrismale, voici une petite explication de texte :

La Messe Chrismale reçoit cette appellation parce que c’est au cours de cette célébration que le Saint Chrême est consacré. Cette huile servira dès les baptêmes de Pâques puis tout au long de l’année pour les sacrements du baptême, de la confirmation et de l’ordre.















Deux autres huiles sont également bénites : l’Huile des Catéchumènes qui sert dans les célébrations préparatoires au baptême surtout pour les adultes ou les enfants déjà grands ; et l’Huile des Malades qui sert dans la célébration du Sacrement des malades.

Baptisés, cathécumènes et oblats ont également apporté les offrandes durant cette cérémonie et les diacres ont renouvelé leur engagement.Mais le point d'orgue, si j'ose dire, ce fut à la fin, avec la confirmation pour Benoit, Laam et Fernando de leur ordination le dimanche 28 juin, à 16 heures, en cathédrale de Moulins;


Autant dire qu'il faut d'ores et déjà repérer votre place car on annonce la foule des grands jours!



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8 mars 2009 7 08 /03 /mars /2009 08:46
Enthousiasme du printemps aidant (avez vous remarqué ce régime particulièrement généreux en matière de giboulées?), j'ai eu envie de jeter un coup d'oeil sur tout ce que cela engendrait comme changements au sein de la maison Saint-Paul. En pasant avez-vous remarqué sur le côté gauche, la possibilité d'écouter de la musique en visitant le site, avec les thématiques renouvellés régulièrement? Je vous gâte, je vous gâte!

Bien sûr donc, difficile d'éviter (et heureusement!) la végétation naissante avec ces jolis perce-neiges au pied de la grotte de la Vierge, ou encore l'arbre de Judée de Monseigneur qui commence à bourgeonner.






















A moins de préférer caresser l'étrange écorce noueuse de ce bel arbre, à l'arrière du bâtiment.

D'ailleurs, à y regarder de plus près, n'y voit-on pas un visage de vieil homme bougon ou bienveillant (c'est selon l'humour du jour) veillant impassiblement à la destinée de la maison?Et puis, il y a cet aspirateur qui traine nonchalement dans l'allée du futur cloître, propriété de notre homme de maison, Dominique, imbattable désormais pour aspirer toutes les petites saletés de la maisonavec, en prime un aspirateur sans sac, le comble de l'écoattitude! Ah, le rêve de beaucoup de femmes!









































Quant à notre évêque, il s'apprête à faire dans son futur chez lui des diners plus que pantagruéliques (sauf en période de Carême bien sûr!). Pour preuve le nombre conséquent de chaises (dix en tout) réunies dans la salle à manger autour de la table à rallonge s'il vous plaît!Et je n'oublie pas nos grandes orgues, soigneusement cachées dans l'une des tours de la maison. Des grandes orgues qui jouent la symphonie en d'eau majeur!Mais le plus amusant (il me pardonnera cette petite photo, lui qui a tant d'humour... grinçant!), c'est notre nouvelle secrétaire (petite pensée au passage pour Jacqueline qui nous manque). Quand on dit que l'Eglise a besoin de polyvalence, on ne s'attendait pas à ce que cette dernière se retrouve parmi les plus hautes couches! En l'occurence, notre secretaire se met désormais au masculin avec en lieu et poste notre cher vicaire géneral, le père Millet, décidèment de tous les chantiers!
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5 mars 2009 4 05 /03 /mars /2009 21:59
La Pentecôte est loin, mais cette langue de feu que l'on associe au Saint-Esprit aperçue sur les murs de la chapelle cet après-midi avait de quoi surprendre.

La chose a quelque chose de surnaturelle et il m'a fallu un peu de chance à savoir du soleil pour saisir cette photo insolite garantie sans trucage ni retouche qui peuplera vos rêves jusqu'à la surprise de demain.


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4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 08:56
Je médite encore sur ce dicton (d'ailleurs si quelqu'un pouvait m'éclairer dessus...), mais une chose est sûre,nous étions bien la saint Blaise en ce 3 février et la neige a fait une apparition remarquée et pas vraiment prévu par les pontes de la météo!Pas de quoi traîner sa luge dans le parc, bien sûr, ni de chausser ses skis de fond (les dénivelés étant insuffisants à la maison diocésaine pour envisager autre chose!), mais juste le plaisir de se laisser griser par les flocons qui battent le visage et le manteau (le tangage de la première photo ne s'explique d'ailleurs pas autrement que par cette griserie ou peut-être et je l'avoue l'apprentissage de la maîtrise de mon nouvel appareil photo!).







































D'ailleurs, comme je l'avais déjà fait pour ce blog il y a quelques mois, j'ai chaussé mes raquettes et ma chapka pour affronter les rigueurs de l'hiver et vous rapporter quelques photos de la maison sous la neige!




















Devant, derrière, sous toutes les coutures et avec même en prime un ouvrier qui ne recule devant rien, voici la maison (qu'une personne a déclaré l'autre jour dans son ensemble comme étant une superbe réalisation, avec une belle intégration de l'ancien et du nouveau, ce qui prouve que ce blog est capable d'une totale objectivité et d'un respect des goût de chacun) revêtue de son manteau blanc en ce petit matin de février.


































Avec,, en prime, cette image décidèment qui m'attendrit de saint Jospeh semblant protéger l'Enfant sous la chappe de neige... un peu de poésie dans ce monde difficile...






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6 décembre 2008 6 06 /12 /décembre /2008 07:50
Ca y est, le plafond de la chapelle diocèsaine est finie, recouvert de fresques du XVIIIe siècle!

Ah non!

On vient de me glisser dans mon oreillette que je me serais trompée. Il ne s'agit pas de la chapelle de la maison Saint-Paul, mais celle de la Visitation, à Moulins!

En tout cas, notre évêque comptait parmi les personnalités de (et du) premier rang pour l'inauguration de la fin de la restauration des oeuvres du peintre Rémy Vuibert, mardi dernier.







Alors pourquoi ais je autant attendu,,allez vous me dire pour vous donner cette information capitale? Tout simplement parce qu'en ce moment, je me fais piquer ma place devant l'ordinateur par un ange supérieur qui profite de ma fatigue et de mon rhume pour le conserver!

Toutefois, cela ne m'a pas empêché d'être présent à cet évenement comme vous pouvez le constater sur les photos.


Monseigneur a fait preuve de beaucoup d'attention et d'enthousiasme devant les explications de la restauratrice Veronique Sorano et du mécène du World Monument Fund.

Peut être pourrions nous suggérer à ce monsieur de s'interesser aussi à la maison Saint-Paul qui certes est moins spectaculaire mais a su, malgrè les années garder un certain charme!




Et pour ce qui est du plafond de notre propre chapelle, si quelques artistes de talent dans le diocèse se sentent l'âme d'un peintre du XVIII e siècle...


Enfin pour la petite histoire et parce que finalement c'éatit certainement l'une de personnes les plus authentiques de cette inauguration, je retiens cette reflexion d'une petite soeur de la Visitation qui m'a dit ceci : "Oui c'est beau, mais je me demande ce qu'en aurait pensé Sainte Jeanne de Chantal (la fondatrice de l'Ordre), elle qui aimait la simplicité..."


PS : si le coeur vous en dit, la chapelle est ouverte ce week end du 6 décembre pour que vous puissiez admirer ces tableaux et faire pourquoi pas un passage du côté de l'exposition "Fastes et exhubérances de la Visitation" qui va fermer ses portes à l'hôtel de Moret, à Moulins.

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