Bon les économies de chauffage c'est bien mais par pitié monsieur l'installateur de chaudières, vite, ça urge! Mes petits doigts ne répondent plus présents et les épaisseurs se pressent sur mon dos pour lutter contre les glaçons qui commencent à se former au bout du nez!
J'obscurcis un chouillas le paysage, mais, à dire vrai, il serait en ce moment préférable de travailler dehors qu'à l'intérieur, si ce n'est en compagnie d'un bon vieux radiateur branché sur le secteur. Quoiqu'avec la pluie tambourinant contre le carreau...
Et pourtant, tout est prêt ou presque.La chaudière impressionne par ses mensurations (une solide gaillarde ma foi qui devrait durer un bout de temps!).
Les radiateurs sont soit posés, soit en cours, soit encore glissés sous leurs couettes de plastiques, comme dans le bureau de l'évêque...
Et celui de la chapelle (il y en a trois dans le même genre) est d'une dimension plus que respectable, ce que deux suppositions me viennent à l'esprit : soit il est envisagé d'avoir vraiment froid dans ce lieux, d'où les précautions d'usage, soit ce sera l'un des endroits sinon L'endroit le plus confortable de la maison où il fera bon méditer.
D'ailleurs, la lumière divine s'est déjà emparé des vitraux rouges, d'où cette surprenante photo qui donne l'impression d'avoir un chauffage aussi lumineux que les radiateurs à leds rouges automatiques des gares.Sinon pour se réchauffer, on peut également opter pour la chaleur humaine des repas mensuels de la maison Saint-Paul où d'un seul homme (enfin en l'occurence plus d'une seule femme, le beau sexe étant majoritaire dans cette assemblée), les habitants s'y précipitent pour échanger les derniers potins (sans réflexion philosphique, n'en déplaise à notre bien aimé vicaire général!)
Et sinon pour les plus impatients ou les plus gelés, selon des sources éminement fiables, le grand coup de chaud est annoncé vers le 15 octobre!
Mais pour l'instant, il paraît que le froid conserve! De quoi conserver un teint de lys : c'est tendance au paradis!
Gabriel s'y préparait depuis plusieurs jours déjà, mais que dire lorsque LA CHOSE se produit vraiment...
Ce n'était qu'un petit balcon en fer blanc, un petit balcon où s'étaient alignés des dizaines de jeunes pensionnaires de la Madeleine pour leur photo de classe, un modeste balcon que l'on empruntait en courant sans vraiment le voir, un joli balcon soutenu par ces fins piliers qui nous abritait de la pluie, de la grêle ou du soleil.
Alors aujourd'hui je n'ai pu m'empêcher de penser à la chanson du petit âne gris et à ce couplet :
Cette vie honorable Un soir s'est terminée Dans le fond d'une étable Tout seul il s'est couché Pauvre bête de somme Il a fermé les yeux Abandonné des hommes Il est mort sans adieu.
Alors Ciao bel escalier qui repose désormais au milieu du parc sur deux morceaux de bois. PS : Merci à mon ange adjoint pour avoir eu le courage de prendre toutes ces photos. Promis, Gabriel revient très vite avec le moral en hausse!
Ou comment rêver devant une palette de carrelage!?
Gabriel sort de sa (longue)léthargie indépendante de sa volonté pour vous dévoiler les mystères de ces pavés qui honorent de façon inégale le parterre de l'auditorium et compagnie.
Et alors là, attention les mirettes, car la maison saint Paul ne se sert pas n'importe où : non, non, non, ma bonne dame! Ceramica Atlas Concorde, comme déchiffré sur le carton n'est ni plus ni moins :
LA FORCE DE L’INNOVATION DANS LA CERAMIQUE
Un nom , synonyme de valeur en Italie et dans le monde
Et je me permets d'ajouter ce petit mot de présentation trouvé sur leur site :
Atlas Concorde s’adresse aux architectes, aux décorateurs d’intérieur et aux plus exigeants des consommateurs avec une gamme de produits qui ont été étudiés pour satisfaire n’importe quel concept et apporter élégance et style aux espaces.
Sans oublier qu'ils sont implantés dans tous les lieux prestigieux, y compris Hollywood.
D'ailleurs, pour constater que je n'abuse pas de votre crédulité, je vous joint le site internet concerné et la photo de la palette de carrelage. http://www.atlasconcorde.it/home.php
Si les dernières stars à la mode peuvent se targuer de posséder un tel carrelage, je vous laisse imaginer dans quel monde de célébrités la Maison Saint Paul vient d'entrer...
Et comme j'aime être pointilleux, (j'ai souci de vos prochaines vacances), je vous laisse traîner cette petite adresse dans le coin de votre ordinateur. En effet, à Spezziano di Fiorano, juste à côté de Modène, dans la région de vous pourrez toujours aller découvrir son chateau et son musée de la céramique : http://www.comune.fiorano-modenese.mo.it/Turismo/Cultura/default.shtm
En attendant, nos stars à nous, ce sont les carreleurs qui n'ont pas hésité à dédicacer à Gabriel un petit pan de mur (je rassure les puriste, rien d'irrémédiable pour la suite de l'embellissement des lieux) sur lequel est désormais gravé : "A Gabriel, notre rayon de soleil, signé les carreleurs".
Et oui, avouons-le, ça fait toujours du bien de sentir apprécié. Et d'ailleurs merci au passage pour ma fidèle visiteuse qui a pensé à la saint Gabriel...
Oh pour l'actu du jour, sachez que le futur couloir-sacristie est pavé d'un blanc quasi aussi immaculé que la couleur de la chapelle sur sa façade.
Et comme la critique est également positive, félicitations pour la salle de bains du gardien pour cette disposition claire et bienheureuse du carrelage de la douche qui pour le coup, agrandirait presque la pièce!
Et dire qu'avec un peu d'organisation, nous aurions pu participer aux journées du patrimoine 2008! Si, si je vous assure : en allant surfer sur les pages de la dite manifestation, voilà ce que j'ai trouvé parmi les points mis en valeur cette année :
La création architecturale contemporaine dans un contexte historique
La création architecturale côtoie également le patrimoine architectural, qu’elle s’inscrive dans un espace protégé, ou aux abords d’un monument historique. Devant répondre de fait à des conditions particulières d’insertion et d’excellence, la création architecturale ou les aménagements contemporains produisent souvent de remarquables réalisations en milieu contraint et des exemples d’insertion urbaine.
Loin d’être figé, le patrimoine peut évoluer grâce à la création architecturale. En réhabilitant des bâtiments, en leur donnant une nouvelle fonction, en agrandissant des architectures existantes, la création s’insinue dans le patrimoine.
Et voilà, pile poil dans le moule de l'actu pour une fois! Bon, on peut toujours discuter sur l'insertion remarquable, quoique, quoique...
Oui, oui, j'ai trouvé UNE personne EXTERIEURE à la Maison Saint-Paul qui a déclaré : "J'aime beaucoup ce qui a été fait, ça rend vraiment bien". Inutile de dire que j'ai pieusement receuilli ces confessions pour vous les restituer ici-même.
Tout ça pour dire qu'en matière d'insertion remarquable et d'aménagements contemporains, j'ai décidé de vous emmener dans les appartements de l'évêque. Car de pièce unique, nous voilà arrivés à une multitude de petites pièces qui, allez soyons francs sont moins pires par la taille que mes craintes.
Les murs à l'ancienne ne sont plus de mises, remplacés par des glissières dans lesquelles sont posés les isolants.
Voici pour commencer donc, l'enfilade toilettes, cellier cuisine.
Et tant que j'y suis, vue depuis la cuisine, un rien déprimante je vous l'accorde. Mais depuis que j'ai appris de la bouche de l'intéressé qu'il n'aurait que peu d'utilité de sa terrasse, harassé de travail qu'il est, je suis un peu moins chagrin!
Voilà à votre gauche en entrant une chambre (l'autre est sur le même modèle et chacune a sa salle de bains privative (ici en photo). Digne des meilleurs hôtels, cela va sans dire!
Puis vous prenez le petit couloir (à vue d'oeil, un fauteuil roulant y passe, à condition de ne pas mettre une mini console) et la première porte sur votre gauche vous donne accès au salon (de précieuses indications issues de plans sur le mur!). Vous ressortez et là, un coup d'oeil presque intime sur la future chambre de notre evêqueet dans l'enfilement la salle de bains et la cuisine.Là aussi je souhaite à Monseigneur de se lever toujours du bon pied car ce n'est pas la vue de sa chambre qui pourra lui mettre le sourire aux lèvres! Hormis le ciel bleu, cela va sans dire!
Et puis, juste à côté, dans les parties plus accessibles, si j'ose dire, une pièce est spécifiquement dévolue au bureau de Monseigneur et juste à côté celui de Anne sa secrétaire, accompagné d'une salle d'attente et d'un couloir dérobé où notre évêque pourra se glisser discrétement s'il veut s'eclipser!
Vous le constaterez, l'installation va prendre encore quelques temps, mais c'est ainsi que la création s'insinue dans le patrimoine!
Pour les habitués de la maison Saint-Paul, ils devaient chercher depuis quelques jours déjà un article de Gabriel sur les nouveautés on ne peut plus colorées de la semaine.
Gabriel n'a donc pas un poil dans la main, mais il médite.
En effet, l'appostion des couleurs des façades du nouveau bâtiment reste un sujet de réflexion extrême (et je ne suis pas le seul si j'en crois le regard interrogateur et curieux du père jean-Philippe Morin). Après l'excitation de l'installation des échafaudages et donc l'arrivée de nouveaux compagnons de jeu, au demeurant fort agiles lorsqu'il s'agit d'escalader ces mêmes échafaudages, l'observation a pris le relais. Une fois l'ocre jaune du début compris (un accrocheur de peinture sur béton lisse, rensiegnements pris), j'ai découvert le choix grandeur nature des peintures. Une bande blanche en haut, une bande rouge au milieu et en bas... pour l'instant rien du tout, car il semblerait selon les témoignages récoltés que des doutes soient encore permis.
C'est une chose.
L'autre question se posant à mon esprit torturé vient du peu d'originalité des choix de couleurs. Vous allez encore dire que je pinaille et qu'à bien y regarder ce sont les couleurs des briques et des joints chers au coin...
Oui, oui, je sais... mais étant plus que régulièrement dans la capitale auvergnate, croyez moi que l'association de ces deux couleurs est plus que répandue sur toute nouvelle façade érigée. A croire qu'il y a eu la promotion du siècle chez les grossistes de peinture...
Enfin, en tout cas, pour l'heure, la dispute tient entre les partisans du tout blanc crème et les tenants du blanc en haut et tout rouge en bas. Le blanc/rouge/blanc étant le grand perdant de l'affaire! Pour ma part, j'attends de voir l'uniformité de l'ensemble...Au moins le clair de l'extérieur compense le sombre de l'intérieur...Les paris sont dont lancés, sachant que les ouvriers devraient rester plusieurs semaines sur le site. Ah sinon, je reviens à l'obsession qui caractèrisait ces derniers jours, à savoir le carrelage. Celui au sol oui, mais depuis peu celui des futures toilettes de l'aire d'acceuil. Mélange entre gris et crème, sans distinction entre les WC hommes et femmes (un peu de fantaisie, que diantre), mon enthousiasme est modéré.
Mais peut être là la vision exarcerbée de mon côté féminin, car pour y avoir entraîné et le Vicaire général et le responsable de la pastorale des jeunes, les bien nommés, père Millet et père Morin, il semblerait que cela ne les ai pas choqués outre mesure!
Dont acte et comme je l'ai dit précédemment...les goûts et les couleurs!
Et pour vous prouver que je sais aussi apprécier le bel oeuvre, je vous livre en avant première le plan de calepinage de la chapelle.
Le calepinage correspond grosso-modo au pavage des mathématiciens : il s'agit de calculer le nombre de formes identiques, des carreaux par exemple, nécessaires pour couvrir une surface donnée. Toute entreprise du bâtiment prépare un plan de calepinage destiné à prévoir le matériel nécessaire à la réalisation du chantier et à chiffrer son coût.
Et donc en l'occurence celui du paavge de la chapelle. Un travail qui ne s'annonce ps de tout repos, car il engendre quelques difficultés, dixit les carreleurs. A noter que l'autel est situé au fond face à la porte principale. Quant à la sacristie, elle ressemble pour l'instant davantage à un couloir qu'à une vraie pièce, mais toujours selon les intéressés, c'est largement suffisant pour se changer. Dont acte encore une fois (la contrition semble être le thème de cet article, décidèment!)
Un carreleur sachant carreler, c'est toujours agréable... à regarder!
Surtout lorsqu'attentifs qu'ils sont à la lecture de ce blog : ils m'ont demandé de préciser que le carrelage était d'une surface de 45 par 45. Dont acte...
Tout ceci pour dire que notre salle de conférences sera entièrement pavée de gris (un prix de gros certainement, mais qui ne va pas accentuer la luminosité des lieux et ce ne sera pas très écoattitude car la facture d'electricité va grimper avec tout ça. Mais bon pourquoi ne pas penser un de ces quatre au photovoltaïque...)Et toujours dans le même quartier, on pourra bientôt prendre une douche après une journée de dure labeur, tout ceci dans les locaux du futur gardien. Locaux qui offrent une jolie vue sur les extérieurs par le biais de la façade vitrée.
Et puis, je m'amuse, je m'amuse avec mon téléphone portable et voilà sous vos yeux émerveillés quelques vues larges de la maison Saint Paul tous côtés confondus. Et si ça tangue un peu, c'est en fait pour faire les raccords les plus aboutis possible et non la faute à la dive bouteille de Saint Pourçain!
Le parking (cf la vidéo)Le parcLe parvis principal et le nouveau bâtimentLe bâtiment Saint Michel (promis, promis, je vous fais bientôt un article dessus)
Hier après-midi, juste avant de partir en week-end, croyez moi bien mérité, Gabriel a eu comme un choc au coeur. Alors que je pensais benoîtement que le balcon, seul vestige du passé qui bordait encore le premier étage était destiné à rester, soutenu par ses fins piliers, et bien, il n'en sera rien. Plus de possibilités de jouer à Roméo et Juliette... Lui aussi va donc disparaître, je ne sais pour quelles obscures raisons, mais les faits sont là. Dommage vraiment dommage...
Quant au reste...
Et bien, il semblerait que la voix du blog soit écoutée, si ce n'est suivie sur certains points! En effet, alors que je m'esbaudissais sur notre nouvelle plantation d'herbes sauvages, Jean-Dominique a pris les choses en main et c'est avec chapeau de paille et tracteur tondeur qu'il a décidé jeudi de donner un chouillas plus de respectabilité aux lieux.
Je ne suis pas jardinier, mais est ce que cela ne risque pas de redonner un peu plus de vigueur à l'ensemble?
A suivre donc... En tout cas, il y en a d'autres qui prospèrent sur les pelouses en ce moment, ce sont les champignons.
La preuve en images mais je ne saurais dire s'ils sont comestibles ou pas. Donc, on va peut-être attendre avant de compter sur une omelette aux cèpes pour midi!
Allez, zou, après les photos la vidéo. Pour l'instant, c'est un test, mais si l'engouement populaire suit, alors, je continuerai.
Précision pour les puristes : je suis installé sur le balcon de l'évêque et je fais donc un 360 ° !Et je ne suis en rien responsable des vidéos qui sont en-dessous, à la fin du visionnage!
Si cela continue, bientôt on ne sortira plus sur le parvis de la Maison Saint-Paul qu'armé de son coupe-coupe! La végétation qui donnait l'impression d'un léger tapis verdoyant est devenu depuis quelques jours, conditions climatiques aidant, une véritable jungle. Photos à l'appui, on a l'impression que les bâtiments neufs ont été construits au coeur de l'Amazonie (ne manque plus qu'une petite rivière pour en terminer la sensation).
Les vieilles rambardes de fer arrachées aux anciens escaliers étouffent peu à peu sous la verdure et il n'y a que le ciment de l'allée en forme de croix qui entravent l'avancée des plantes rebelles!
Le contraste est d'autant plus saisissant que de l'autre côté, le parking est lissé à coup de rouleau compresseur et déjà les premières voitures (des ouvriers je précise, le lieu n'étant pas encore exploitable) ont pris place.
Sur le devant de l'accueil ( qui a désormais des portes), un muret est dressé pour préfigurer le futur parvis.
Une seule chose me chagrine un peu sur ce parking (mais bon rien n'est encore fini) : lorsqu'on lève les yeux vers la chapelle, la vue est entravée par le système de ventilation (voir précédemment) et c'est un peu dommage...
Ah pour faire bonne mesure, je vous ajoute une photo de la salle de conférences.
Ainsi que de deux bizarreries : ce sont en effet bien deux chaises posées dans l'ascenseur, non pas en attente d'être déménagées, mais amenées plutôt à rester à domicile. Ces derniers temps, la colonne blanche s'est en effet montrée capricieuse (ou séductrice c'est au choix...) et a choisi de garder un peu plus longtemps que la moyenne certains de ses hôtes.
L'attente étant ce qu'elle est, désormais, ces invités inopinés pourront se reposer en attendant que les portes s'ouvrent d'elles-mêmes. Bon courage à tous, mais pas d'inquiétude, ce ne sont que quelques sautes d'humeur et non une dépression nerveuse de notre ascenseur!
J'ai comme un doute sur les mensurations, mais de la couleur je suis sûre : Gris foncé!
Je parle bien sûr de carrelage, car oui, c'est l'info de la semaine : on ne marche plus sur du ciment bête et méchant (quoique ce soit très tendance une fois ciré), mais sur du vrai, de l'authentique carrelage, de celui qui fait pester dès qu'il y a la moindre averse et que les chaussures se font un plaisir de salir d'un coup de boue...
Allons donc, me voilà à nouveau pessimiste, mais avouons-le, il y a comme un peu de vécu dans ces propos. Même un ange sait faire le ménage et le fait bien!Mais trève de bavardages, si vous voulez savoir à quoi ressemble un ouvrier carreleur heureux, il suffit d'aller pointer l'oreille vers les futures salles des archives pour entendre chantonner notre choeur home sweet home. Et pourquoi en profiter pour prendre un petit cours de pose de carrelage, ce qui requiert une délicatesse que je ne soupçonnais pas!
Après le gros oeuvre qui se poursuit (et qui continue de prendre ses repas sous les auspices des arbres centenaires dans la bonne humeur!), voici donc enfin les petites mains qui affinent les détails pour rendre les lieux imaginables dans un premier temps, habitables dans un second!
Ah, je précise, le carrelage est pour l'instant dans la partie droite de l'accueil, partie qui se retrouve surplombée d'une petite passerelle fort sympathique.
Quant à la chapelle, son autel de polistyrène a enfin trouvé sa place originel : sur les murs.
Des panneaux qui donnent des idées à certains (c'est ce qu'on appelle de l'art brut...) comme le montre mon insolite du jour. Un insolite situé juste dans la future salle de bain (enfin si je suis le plan) de... notre évêque bien aimé!
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La chaudière impressionne par ses mensurations (une solide gaillarde ma foi qui devrait durer un bout de temps!). 
Sinon pour se réchauffer, on peut également opter pour la chaleur humaine des repas mensuels de la maison Saint-Paul où d'un seul homme (enfin en l'occurence plus d'une seule femme, le beau sexe étant majoritaire dans cette assemblée), les habitants s'y précipitent pour échanger les derniers potins (sans réflexion philosphique, n'en déplaise à notre bien aimé vicaire général!)
ine pour leur photo de classe, un modeste balcon que l'on empruntait en courant sans vraiment le voir, un joli balcon soutenu par ces fins piliers qui nous abritait de la pluie, de la grêle ou du soleil.
Vous ressortez et là, un coup d'oeil presque intime sur la future chambre de notre evêque
Là aussi je souhaite à Monseigneur de se lever toujours du bon pied car ce n'est pas la vue de sa chambre qui pourra lui mettre le sourire aux lèvres! Hormis le ciel bleu, cela va sans dire!
abriel n'a donc pas un poil dans la main, mais il médite.
Locaux qui offrent une jolie vue sur les extérieurs par le biais de la façade vitrée.
e parle bien sûr de carrelage, car oui, c'est l'info de la semaine : on ne marche plus sur du ciment bête et méchant (quoique ce soit très tendance une fois ciré), mais sur du vrai, de l'authentique carrelage, de celui qui fait pester dès qu'il y a la moindre averse et que les chaussures se font un plaisir de salir d'un coup de boue...
Mais trève de bavardages, si vous voulez savoir à quoi ressemble un ouvrier carreleur heureux, il suffit d'aller pointer l'oreille vers les futures salles des archives pour entendre chantonner notre choeur home sweet home.
